Zéro Déchet : le survivalisme et le zéro déchet sont-ils compatibles ?

La question du zéro déchet est l’une des questions qui prédominent dans le modèle de vie survivaliste. S’il fallait apporter une réponse rapide à la question d’une compatibilité entre ces deux éléments, celle-ci serait positive.

Toutefois, essayons de nous attarder sur le sujet pour arriver à voir quels sont les points communs à ces deux modes de vie

Le survivaliste n’aime pas gaspiller

Croyez-vous que lorsqu’un preppers fait des réserves c’est dans le but de les gaspiller ?

La réponse est, cette fois-ci, négative. Le but d’un résilient c’est d’avant tout pouvoir se suffire a lui-même en devenant complètement indépendant et autonome. 

Pour arriver à ses fins, il va donc récupérer et conserver les graines des légumes qu’il consomme afin de les replanter et de faire pousser ses propres légumes, par exemple. 

De plus, il va toujours trouver des moyens pour récupérer, pour recycler, pour éviter de jeter et pour redonner une seconde vie à ses objets.

Le sans déchet est l’une des étapes qui conduisent à la résilience. Vous pouvez également participer au Word Clean Up Day afin de préserver notre planète.

Les objets utilisés dans le zéro déchet vous emmènent vers une résilience autonome

Il est important de comprendre que le survivalisme est un mode de vie qui prône une préoccupation vis-à-vis de certains enjeux. Cela signifie que si vous partez dans une direction qui serait de préserver la planète, de commencer à votre échelle, vous répondez à un problème, à une question qui serait : « que faire en cas de … ? » réchauffement de la planète, effondrement de la normalité, maladie vénérienne et contagieuse

Dès que vous commencez à vous poser ce genre de questions, que vous trouvez des solutions durables, vous vous approchez un peu plus de la résilience et donc du survivalisme.

Dans les faits, les deux modes sont-ils compatibles ?

Oui bien sûr ! Et d’ailleurs l’un mène souvent à l’autre. En effet, lorsqu’on commence à vouloir préserver la planète, on débute par de petits gestes qui, à notre échelle, ont un effet local et personnel

Mais lorsque l’on prend l’habitude de faire ces petits gestes, de nouveaux gestes vont venir s’ajouter à cette nouvelle routine. Cela peut conduire à se tourner progressivement vers l’indépendance la plus simple et la moins couteuse

Lorsque l’on se balade en forêt, faire du bivouac, par exemple, on a tendance à ne pas vouloir salir la nature, on privilégiera donc des objets réutilisables tels que les sacs de toiles ou les briquets solaires par exemple. 

Pourquoi ne pas prôner et pratiquer un retour aux sources pour sauver la planète ?

Il est indéniable que de nos jours pour aller vers un monde sans déchet, nous devons nous inspirer de nos anciens, voire de nos ancêtres. 

Effectivement, on peut se rendre compte que depuis le siècle dernier les choses ont évolué dans le mauvais sens.

Il est donc de mise de repartir vers les fondamentaux de ces années-là.

Bien sûr vous pouvez vous procurer tout le matériel pour passer le pas vers un monde où le déchet n’a plus sa place et où le survivalisme pourrait être un pas en avant vers cette transition.

Par exemple, le site www.natureandsurvival.fr permet de trouver tout un tas d’objets vous emmenant progressivement vers ce nouveau mode de vie. 

En conclusion

Avoir une meilleure gestion de ses déchets ne se fait pas en un jour. Il s’agit d’un processus progressif car il vous faudra penser et trouver des solutions à ces problèmes ou encore trouver des moyens alternatifs à tout ce qui pourrait vous faire évoluer vers un mode de vie indépendant.